Le carnet du soldat, dès maintenant noirci de notes fiévreuses, reposait près de la radio. Il avait passé l'obscurité à ramasser une faille dans le message offert, à démonter mentalement chaque changement de la contagion. Le sobriquet évidemment était le sien, opiniâtre d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://kameronkaiqt.is-blog.com/40400610/le-nombre-glacé