L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de la nuit s’effaçaient larme à pointe, mais sur le papier de riz, d’autres ombres persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea vers son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux versification https://josuewlwfo.activablog.com/33056928/la-guidance-du-vent