Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habituation, attendait que l’obsidienne parle à frais. La diamant black semblait absorber la luminosité sélénien, pervibrer par-dessous la pression du vent, et parfois, sans aviser, elle résonnait de cette voix désuète https://andrealsyd.vblogetin.com/39608618/le-sel-dans-la-joyau-black