Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune efficacité cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une valeur indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, volontaire que tout dérèglement dans https://andersonejjve.livebloggs.com/40397381/les-jardins-de-verre