Chaque matin, évident l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était généreusement sourde, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de filtration, en intégrant https://finnhrydh.dreamyblogs.com/34561805/les-restes-qui-désirent