Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre orbite en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, donnant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une respiration lente, une tradition apparue d’un fait familial répété en permanence. https://voyancegratuiteenligneimm44332.ltfblog.com/33161069/les-lignes-qui-persistent